Bon, j'ai décidé de reprendre mon blog après une longue interruption et notre première victoire au Stade de France.
Il faut dire que j'ai eu beaucoup d'émotions à gérer au cours des deux dernières années : j'ai vu Jean Pierre Perez devenir champion de France, j'ai pris la pression après une troisième finale perdue, Brock a été atteint du syndrome de Gérald Merceron et s'est mis à rater tous ses coups de pieds, Roro m'a fait un caprice pour jouer trois-quart centre, Brock s'est mis à taper des drops de cinquante mètres pendant que Toulon s'est mis à jouer, je suis devenu un winner, j'ai réappris à sourire après quatre ans d'abstinence (plusieurs opérations très douloureuses...), j'ai pris la cuite de ma vie et j'ai dû gérer la cure de désintoxication d'un groupe de rugbymen professionnels, dont Sione Lauaki, après notre victoire, j'ai mis un an à me rendre compte que, contrairement aux autres équipes, ce n'était pas la défaite qu'on ne savait pas gérer, mais les victoires, j'ai expliqué sans rigoler à Sione Lauaki que la vie à Clermont avec un salaire moindre et sans ses potes était plus agréable que la vie à Bayonne, j'ai compris que je ne serai jamais le sélectionneur des All-Blacks, je me suis fait traiter de collabo par Paul Goze, et, pour finir, j'ai perdu à La Rochelle.
Vous comprendrez que j'avais d'autres chèvres à égorger que de m'occuper d'un blog dont la fréquentation dépasse difficilement le nombres passes réussies en une année par David Marty.
Jusqu'à présent, j'avais essayé de vous donner mon impression après chaque rencontre. En fait, je me suis rendu compte que si vous vouliez vous marrer en lisant des recensions et des analyses de matches de rugby, il suffisait d'aller sur rugbyrama.fr.
Finalement, je ne sais pas très bien de quoi je vais vous parler, mais j'ai l'ambition que ma chronique devienne moins inutile que celle de Marcel Ruffo dans le Midol...
Il faut dire que j'ai eu beaucoup d'émotions à gérer au cours des deux dernières années : j'ai vu Jean Pierre Perez devenir champion de France, j'ai pris la pression après une troisième finale perdue, Brock a été atteint du syndrome de Gérald Merceron et s'est mis à rater tous ses coups de pieds, Roro m'a fait un caprice pour jouer trois-quart centre, Brock s'est mis à taper des drops de cinquante mètres pendant que Toulon s'est mis à jouer, je suis devenu un winner, j'ai réappris à sourire après quatre ans d'abstinence (plusieurs opérations très douloureuses...), j'ai pris la cuite de ma vie et j'ai dû gérer la cure de désintoxication d'un groupe de rugbymen professionnels, dont Sione Lauaki, après notre victoire, j'ai mis un an à me rendre compte que, contrairement aux autres équipes, ce n'était pas la défaite qu'on ne savait pas gérer, mais les victoires, j'ai expliqué sans rigoler à Sione Lauaki que la vie à Clermont avec un salaire moindre et sans ses potes était plus agréable que la vie à Bayonne, j'ai compris que je ne serai jamais le sélectionneur des All-Blacks, je me suis fait traiter de collabo par Paul Goze, et, pour finir, j'ai perdu à La Rochelle.
Vous comprendrez que j'avais d'autres chèvres à égorger que de m'occuper d'un blog dont la fréquentation dépasse difficilement le nombres passes réussies en une année par David Marty.
Jusqu'à présent, j'avais essayé de vous donner mon impression après chaque rencontre. En fait, je me suis rendu compte que si vous vouliez vous marrer en lisant des recensions et des analyses de matches de rugby, il suffisait d'aller sur rugbyrama.fr.
Finalement, je ne sais pas très bien de quoi je vais vous parler, mais j'ai l'ambition que ma chronique devienne moins inutile que celle de Marcel Ruffo dans le Midol...
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